« Le voyage du Catholicos d'Arménie Garéguine II à Khankendi et ses expressions de slogans de vengeance sont si étranges de la part d'une autorité religieuse. Au lieu d'appeler à la paix et à la réconciliation, il a choisi le langage de la haine et de la guerre.
L'Église arménienne diffuse malheureusement de fausses informations selon lesquelles les sites religieux chrétiens de l'Azerbaïdjan tolérant et multiculturel sont menacés. C'est absolument faux, car la liberté de culte est une caractéristique glorieuse de l'Azerbaïdjan.
Je suis l'un des nombreux responsables internationaux qui ont été témoins de cette réalité et ont vu comment les églises et les synagogues en Azerbaïdjan sont bien respectées et protégées, et nous avons toujours exprimé notre appréciation et nos respects à l'Azerbaïdjan et à ses dirigeants pour cette politique de tolérance. Nous, membres du Centre international Nizami Gandjavi, travaillons activement pour la restauration et la protection du patrimoine culturel du Caucase du Sud.
Cette fausse affirmation des autorités religieuses d'Arménie intervient alors qu'il n'y a pas une seule mosquée et site religieux islamique survivant et non profané dans les territoires libérés de l'occupation arménienne.
La rhétorique et le comportement belliqueux ne contribuent pas à créer un climat de confiance et d'harmonie entre les peuples de la région, au contraire, ils incitent à plus d'extrémisme et de haine.
Les appels à la mort, à l'occupation, à la torture et à la violence au lieu de ceux pour la paix, le bon voisinage et la coexistence vont à l'encontre des valeurs religieuses », indique le communiqué.
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