Les voyages entre Israël et les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada et de nombreux autres pays, tant pour les Israéliens que pour les étrangers, sont autorisés à partir de vendredi. Selon le ministère de la Santé, la propagation du variant Omicron a rendu inutiles les restrictions.
Face au variant Omicron, chaque pays dispose de sa propre stratégie et peut même la changer.
Israël, qui avait interdit le 28 novembre l’entrée des ressortissants étrangers dans l’espoir de ralentir la propagation du variant Omicron, lève cette stricte interdiction.
Nachman Ash, le directeur général du ministère de la Santé, a révélé jeudi 6 janvier que les voyages reprendraient à destination et en provenance des pays de la "liste rouge".
D’après le quotidien Haaretz, la décision, en attente d'approbation du gouvernement, s'applique aux citoyens ou résidents israéliens, ainsi qu'aux touristes étrangers, qui doivent fournir des preuves de vaccination ou de guérison du virus.
Les arrivants non vaccinés doivent subir deux tests négatifs: le premier à l'arrivée et un autre après sept jours de quarantaine.
Les pays de la liste rouge, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, la Suisse, l’Espagne, la France, la Hongrie et le Portugal, rejoindront la liste orange.
Les voyageurs en provenance de ces pays auront à subir 24 heures de quarantaine à leur arrivée, et l'État déconseillera toujours à ses ressortissants de se rendre dans ces zones avec des "taux d'infection locaux élevés".
Avec Sputnik