Le ministre a déclaré que la mise en service du TAP n'était pas la fin du projet du Corridor gazier Sud, mais le début de nouvelles opportunités.
«Avec nos partenaires, nous créons un nouvel environnement géo-économique et une nouvelle carte de l'Eurasie qui promeut le développement durable et la coopération mondiale. Il convient également de noter que l'Azerbaïdjan a renforcé la sécurité physique du corridor énergétique et éliminé les menaces militaires et a restauré son intégrité en libérant ses territoires de l'occupation de 30 ans de la République d'Arménie», a-t-il souligné.
«Maintenant que nous avons achevé la première phase du Corridor gazier Sud, nous réfléchissons à la phase suivante. À la suite de la deuxième phase, le gaz azerbaïdjanais sera extrait de champs non développés, ce qui créera de nouvelles opportunités de transit pour de nouveaux fournisseurs. Je suis convaincu que lors de la réunion d'aujourd'hui du Conseil consultatif, nous ne célébrerons pas seulement nos réalisations conjointes, mais nous tiendrons également des discussions conjointes sur les opportunités futures», a-t-il ajouté.
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