Pashinyan a souligné que l'ouverture des routes jouerait un rôle clé pour le développement de l'économie et de l'industrie arméniennes. À titre d'exemple, il a mentionné le domaine de l'extraction du minerai de cuivre.
Il a rappelé que l'Arménie était riche en cuivre, mais la modernisation de son industrie et la création de capacités de fusion du cuivre étaient impossibles sans communications. Dans ce contexte, Pashinyan a souligné l'importance du déblocage des infrastructures de transport régionales.
«Nous devons prendre des décisions. Nous devons comprendre que nous ne pouvons pas nous frayer un chemin à travers le territoire de l’Azerbaïdjan, mais en même temps ne pas lui donner un chemin à travers notre territoire. Nous devons pouvoir utiliser mutuellement les routes existantes. Nous devons créer une atmosphère favorable autour de l'Arménie dans la région. Pour cela, nous devons changer notre point de vue sur la région, et nos voisins doivent faire de même à notre égard», a ajouté le premier ministre.
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