Il a souligné que l'Azerbaïdjan avait proposé un accord de paix à signer avec l'Arménie sur la base des normes et principes fondamentaux du droit international.
"L'un de ces principes comprend le respect de l'intégrité territoriale, de la souveraineté et de l'inviolabilité des frontières internationalement reconnues de chacun. Depuis plusieurs mois, les autorités arméniennes sèment la confusion dans la communauté internationale sous divers prétextes à travers les médias et la diaspora, et entravent le processus de paix en affichant une position destructrice", a dit E. Amirbayov.
Il a souligné que l'Azerbaïdjan pensait qu'il n'y a pas d'alternative à la paix. Tôt ou tard, ces deux nations devraient tourner la page de l'hostilité et essayer d'établir des relations normales et bonnes fondées sur le respect du droit international. L'une de ces excuses pour l'Arménie est la situation sur la route de Latchine.
E. Amirbayov a noté qu'il n'était pas d'accord avec l'utilisation du mot "blocus": "La route de Latchine n'a pas été fermée par l'Azerbaïdjan. "Cette route a été utilisée pour transporter des armes illégales, des mines antipersonnel et du personnel militaire vers la région du Karabagh de l'Azerbaïdjan afin de renforcer le potentiel militaire de l'Arménie sur le territoire de l'Azerbaïdjan souverain, où 10 000 soldats arméniens sont toujours stationnés."
Le haut responsable a fait savoir que la dernière goutte pour lancer l'action sur cette route était le transport plus intensif des minéraux et des ressources naturelles de l'Azerbaïdjan vers l'Arménie pour une exportation ultérieure via Latchine :
"Selon la déclaration tripartite, la route de Latchine ne devrait être utilisée qu'à des fins humanitaires."
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