« Le site est actuellement en maintenance », peut-on lire sur la page d’accueil du site en essayant d’y accéder.
Le collectif NoName057(16) a revendiqué l’attaque sur sa chaîne Telegram, selon le site web d’actualité sur l’informatique et le numérique « numerama ».
Dans leur message de revendication, les hackers évoquent « les protestations contre Macron, qui a décidé de se moquer des Français », pointant également le soutien apporté par le président français à l’Ukraine.
« NoName057(16), est l’un des collectifs les plus actifs dans le harcèlement des sites occidentaux, avec Killnet. Leur stratégie repose presque uniquement sur des attaques par déni de service. Cette stratégie consiste à lancer des vagues de connexion dirigées simultanément vers un site précis. Si le nombre de requêtes est suffisamment élevé, le serveur n’est plus en mesure de les traiter, et la plateforme visée s’éteint, pendant quelques heures le plus souvent », explique « numerama ».
Une enquête a été ouverte pour « entrave au fonctionnement d'un système de traitement automatisé de données », rapporte, pour sa part, franceinfo citant le parquet de Paris, qui confirme que « les sites internet de l'Assemblée nationale, du Sénat et du parlement des enfants ont fait l'objet d'une attaque ».