"C'est le début d'un nouveau chapitre", ont commenté Sergio Ermotti, directeur général d'UBS, et Colm Kelleher, président du conseil d'administration, dans une lettre ouverte publiée dans les journaux suisses.
Le groupe supervisera 5.000 milliards de dollars d'actifs, ce qui permettra à UBS, premier gestionnaire de fortune au monde, d'occuper une position de premier plan sur les marchés clés. Il lui aurait fallu des années pour gagner une telle portée sans le rachat, soutenu par le gouvernement suisse.
La fusion marque également la fin de Credit Suisse, après 167 ans d'existence, marquée ces dernières années par des scandales et des pertes.
Les deux banques emploient conjointement 120.000 personnes dans le monde, mais UBS a déjà annoncé qu'elle supprimerait des emplois pour tirer parti des synergies et réduire les coûts. (Reuters)
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