« En parlant aux gens, vous pourrez voir ce qu'ils pensent de notre gouvernement – si nous faisons la bonne chose ou non. Vous savez, la cohésion de la société et le fort soutien public, bien sûr, ne proviennent pas seulement de notre politique et de la libération des territoires occupés », a noté le chef de l’Etat.
« Si quelqu’un en Occident pense qu'en insultant les responsables gouvernementaux, en répandant des calomnies et des rumeurs, il peut influencer l’opinion publique en Azerbaïdjan, peut-être qu’il a raison, mais son influence ne va pas dans la direction qu’il aimerait voir », a ajouté le président.
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