Il a commenté la déclaration du ministère arménien des Affaires étrangères du 28 août.
"La diffusion d'allégations sur l'enlèvement de trois citoyens arméniens arrêtés au poste frontière de Latchine le 28 août, à la suite d'une affaire pénale ouverte conformément à la législation azerbaïdjanaise pour incitation à l'inimitié ethnique et raciale, ainsi que pour insulte au drapeau national de l'Azerbaïdjan, en plus de remettre en question la légitimité par le ministère arménien des Affaires étrangères du point de contrôle établi sur le territoire souverain de l'Azerbaïdjan, démontre que l'Arménie ne respecte pas ses obligations internationales.
Nous voudrions ainsi rappeler à la partie arménienne, qui prétend que l'Azerbaïdjan a violé les décisions de la Cour internationale de Justice, qu'il existe une décision de la Cour visant à empêcher les actes de haine pour des raisons ethniques et raciales, et qu'au lieu d'empêcher ces actes, l'Arménie fait des déclarations contre l'Azerbaïdjan, qui s'oppose à de tels actes.
Compte tenu de l'âge des trois personnes mentionnées, de leur sincère reconnaissance de leurs remords pour ce qu'elles ont commis, l'Azerbaïdjan a mis fin aux poursuites pénales contre elles sur la base du principe de l'humanisme. Malgré ce fait, la partie arménienne tente de dissimuler les crimes commis et accuser l'Azerbaïdjan de nettoyage ethnique indique la véritable intention de ce pays", selon le porte-parole du ministère.
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