"Nous continuons de travailler avec le gouvernement pakistanais pour comprendre ses préoccupations", a indiqué sur X (ex-Twitter) l'équipe de communication du réseau, commentant pour la première fois le blocage en vigueur depuis le 17 février.
La plateforme est difficilement accessible depuis cette date, lorsque le parti de l'ancien Premier ministre, actuellement emprisonné, Imran Khan, avait appelé à des manifestations après qu'un responsable gouvernemental a admis des fraudes lors des législatives du 8 février.
Mercredi, un tribunal de la province du Sindh, a ordonné au gouvernement de rétablir l'accès à X "sous une semaine", selon Moiz Jaaferi, l'avocat qui avait saisi la justice contre ce blocage. (AFP)