Le ministre a noté que la mise à disposition par le Kazakhstan d'une plateforme de négociations entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie en mai 2024 témoignait de l'importance que ce pays accorde au processus de paix.
« Bien que nous ayons parcouru un long chemin vers la normalisation des relations interétatiques entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie et la signature d'un accord de paix définitif, je voudrais faire savoir une fois de plus que l'existence de revendications territoriales contre l'Azerbaïdjan dans la constitution arménienne, la militarisation rapide de ce pays et sa tendance au revanchisme restent un obstacle majeur au processus de paix », a affirmé le ministre.
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