L`Arménie a «une bombe sale»? - DOSSİER

  19 Avril 2016    Lu: 8591
L`Arménie a «une bombe sale»? - DOSSİER
Le 16 Avril, le ministre arménien de la Défense Seyran Ohanian a déclaré une idée intéressante et imprévisible sur la chaîne de télévision publique : “Nous avons de telles armes jamais utilisées dans la guerre que l`ennemi ne peut pas imaginer”.

Cela n`était pas une phrase aléatoire. Parce que, le chef du service de presse du Ministère arménien de la Défense avait déclaré le même avis.



İl est intéressant que, comment est-elle cette arme que la partie azerbaïdjanaise ne peut pas imaginer? Essayons d`obtenir des résultats d`une manière logique. Si on parle sur des armes ordinaires (pas d`armes de destruction massive) probablement l`Arménie les utiliserait sans réfléchir. Parce que, perdre la bataille et ne pas utiliser l`arme secrète est illogique. Dans ce cas on peut poser cette question: Mais quand l`Arménie utilisera ces armes?

Alors, on n`utilise pas “cette arme” dans une bataille traditionnelle et d`autre part l`Arménie a peur de la censure internationale. Ces armes peuvent être des armes interdites par les conventions internationales.

Mais en Arménie, est-il possible d`avoir de telles armes?

La variante la plus réaliste est une arme radiologique, ou, tout simplement “une bombe sale”.

Mais pourquoi une «bombe sale»? Parce que, en Arménie, il y a beaucoup de matières premières nécessaires pour la fabrication de cette arme. Ces sont des déchets radioactifs de la centrale nucléaire de Metsamor. İl est évident que, “une bombe sale” est matière radioactive ordinaire placée dans le conteneur d`explosif. Les terroristes peuvent la fabriquer facilement.

Aucun état dans le monde, n`a pas officiellement une arme radiologique. Parce qu`il est inapproprié d`appliquer dans les opérations de combat traditionnelles. “Une bombe sale” est une excellente arme à utiliser pour la vengeance ou pour le but du terrorisme. Des dommages causés aux personnes et l`environnement peuvent continuer pendant des décennies.

Cette arme a été nommée “Arme nucléaire des pauvres” et pour cette raison la possibilité d`avoir cette arme de l`Arménie est forte. Parce que, l`Arménie est un pays pauvre et étroitement lié au terrorisme. La visite de Vazgen Sisyan, l`un des leaders de l`organisation terroriste ASALA dans le Haut-Karabakh lors des opérations militaires prouvait ce fait.



Ce n’est pas la première fois : en 2014 deux citoyens de l’Arménie ont été arrêtés lors de la transmission des cantineurs en produits radioactifs „Césium-137“ dans les postes frontaliers de Sadaxli en Géorgie.

Ce n’est pas déjà le cas de parler du hasard: il est claire que, il existe une structure criminelle secrete au qui préoccupe de la contrebande nucléaire au sein des autorités de l’Etat en Arménie.



Le plus dangereux est que, il est soutenu au niveau politique et public. Le député du Congrès national arménien au parlement d’Arménie, le premier ministre entre 1993-1996 Grant Bagratyan a déclaré lors de la session organisée le 5 April que, “Nous devons créer une arme nucléaire pour défendre le Karabakh de Azerbaïdjan”. Fais attention que, ces paroles n’étaient pas faites par un politicien marginal, par un personne qui a dirigé les réformes économiques à un moment en Arménie.

Les opinions similaires ont été exprimées le 17 April par l’ex ministre de la Défense et le lieutenant-général de l’Arménie Ter-Grigoryant pendant son entretien à l’édition `Tert` “Nous devons posséder l’arme de vengeance et l’arme nucléaire”.

Toutes ces données suggèrent que, l’Arménie est en train de devenir à une menace nucléaire pour la région, ou autrement elle est devenu déjà. Même s`elle n’ a pas de “bombe sale“, l’ancienne centrale nucléaire de Metsamor, située dans la zone séismiquement dangereux et établie par les anciennes chronologies, était comme une menace pour la Caucase du Sud. De plus l’ampleur de la menace augmente. Parce que les arméniens n’hésitent pas presqu’à confirmer officiellement qu’ils ont une “bombe sale“.

Vusal Mammedov, analyste politique, directeur de publication d’Azvision.az

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