Si nous ne comprenons pas très bien, nous ne pouvons pas réussir » Novruz Mammadov, chef adjoint de l’administration présidentielle de l’Azerbaïdjan et chef du département des relations internationales a déclaré lors de la séance de discussion « Construction de la paix, déconstruction du terreur » organisée mercredi dans le cadre du 7e Forum global de l`Alliance des civilisations de l`ONU.
Il a abordé la nécessité de prêter attention à ce qui s’est produit après l`effondrement de l`Union soviétique : « Ce qui s’est passé en 25 ans ? Le nombre des pays où il y a des conflits a considérablement augmenté. Parce qu’il n`y a pas de justice dans les relations internationales, les ambitions géopolitiques prévalent. Nous observons l`approche multi-perspective vers le problème de l’EIIL. Par exemple, 220 filles ont été prises en otage par l’organisation terroriste « Boko Haram », personne n’exprime sa position à ce sujet. Tout ce que nous entendons que les filles sont en vie et restent en contact avec leurs familles » a noté M. Mammadov.
En ce qui concerne l`Azerbaïdjan, par exemple, imaginons que le Haut-Karabakh est une région contestée, bien qu`il ne soit pas, a dit le chef adjoint de l’administration présidentielle, ajoutant que cependant, les 7 régions autour du Haut-Karabakh sont sous occupation, personne ne parle à ce sujet. « Le droit international doit être suivi. On dit que l`Azerbaïdjan doit parler avec l`Arménie. Les ambitions géopolitiques sont au cœur du problème du conflit du Haut-Karabakh » a-t-il conclu.
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