Une enquête lancée sur l`utilisation des armes chimiques par les Arméniens
Le service de presse du procureur militaire de la République d’Azerbaïdjan a confié à Azvision.az. On a souligné que des munitions militaires dont l’utilisation est interdite par les conventions internationales sont utilisées lors des provocations commises par forces armées de l’Arménie contre les zones résidentielles et la population civile de l’Azerbaïdjan.
L’obus non explosé découvert le 10 mai dans le village d’Eskipara de la région de Tovouz par de l’Agence nationale azerbaïdjanaise de lutte contre les mines (ANAMA) était celui d’artillerie de 122 mm (obus fumigène composé de 3,6 kg de P-4). En explosant, ce type d’obus se disperse dans un rayon de 15-20 m et crée un nuage toxique blanc. Ce nuage de fumée est assez nuisible pour les organismes vivants. Ce rayon peut grandir selon la vitesse et la direction du vent.
Les troupes arméniennes utilisent ce type d’obus pas seulement en tirant sur les positions de l’armée azerbaïdjanaise, mais aussi contre les localités et la population civile d’Azerbaïdjan.
En relation avec le fait de l’utilisation des munitions prohibées par les unités armées arméniennes, le Bureau du Procureur militaire de l`Azerbaïdjan a ouvert une affaire pénale en vertu des articles 29,120.2.7 (tentative d`assassiner de deux et plus de gens), 29,120.2.12 (tentative d`assassiner des gens avec l`intention de la haine raciale, religieuse, nationale et de l`inimitié), 116.0.16 (application des armes, des moyens et méthodes de guerre prohibés par les accords internationaux soutenus par la République d`Azerbaïdjan, dans les conflits armés) du Code criminel.
AzVision.az