Le 22 mai 1999, deux Arméniens ont essayé de vendre 20 kg d’uranium faiblement enrichi (LEU) dans la ville ukrainienne de Berehove, mais ont été arrêtés par les forces de l’ordre en Ukraine. Les Arméniens avaient demandé 35 000 dollars pour 1 kg d`uranium.
Le 19 décembre 2001, lors d’une opération de reconnaissance dans la région Samskhe-Javakheti en Géorgie, a été saisi 300 g de LEU. L’enquête a clairement indiqué que le matériel avait été amené de l’Arménie.
Le 26 juin 2003, les citoyens arméniens ont essayé de faire passer 170g d’uranium hautement enrichi U-235 à travers la frontière entre l`Arménie et la Géorgie (point de contrôle Sadakhli-Bagratashen).
170 g d’uranium a été saisi du citoyen arménien détenu, Garik Dadadyan. Dadadyan a été transféré à l`Arménie, où la procédure pénale a été lancée contre lui. Il a été condamné à l`emprisonnement pour une période de deux ans et demi. Ce fait indique que les autorités gouvernementales défendent les Arméniens qui se livrent à la contrebande de matières radioactives.
Le 23 décembre 2003, un conteneur des matières radioactives de strontium-90, apporté de la centrale nucléaire de Metsamor a été arrêté au poste de contrôle de Mehri, à la frontière arméno-iranienne. L`analyse spectrale a révélé que l`objet était hautement radioactif.
Le 13 mars 2004, un citoyen arménien a été arrêté à la frontière arméno-géorgienne (point de contrôle Sadakhli-Bagratashen), pour possession de matières radioactives. Cependant, l`incident n’a pas été rendu public.
Le 24 octobre 2007, 2.04 g de Lawrence-103 a été découvert dans un conteneur d’or spécial, à la frontière entre la Géorgie et la Turquie (point de contrôle Sarpi). En conséquence, 4 citoyens arméniens ont été arrêtés.
Les 26-28 août 2009, à la frontière arméno-géorgienne (point de contrôle Sadakhli-Bagratashen), des traces de l’élément radioactif Césium 137 ont été détectées dans une voiture appartenant à un habitant du village de Noratus de la région Gerarkunik de l`Arménie. Cependant, la substance elle-même n`a pas été trouvée, de sorte que le passager a été libéré et retourné à l`Arménie.
En mars 2010, à Tbilissi, l’homme d`affaires Smbat Tonoyan et le membre de l`Institut de Physique d’Erevan Hrant Ohanian ont été arrêtés sur des soupçons de vente illégale de matières radioactives. 18 g d’uranium enrichi jusqu`à 89 % a été saisi sur eux. Au cours de leur procès à Tbilissi, il est devenu clair que Tonoyan avait initialement requis d`un acheteur potentiel de 8 millions de dollars en échange de 120 g d`uranium enrichi, mais a abaissé le prix à 1,5 million de dollars. Il était censé, 18 g de produit pour montrer à l’acheteur comme un échantillon. Tonoyan avait reçu l`uranium confisqué du citoyen arménien Garik Dadayan qui avait été arrêté pour la contrebande d`uranium en Géorgie en 2003. Après avoir purgé une peine légère pour la contrebande de matières radioactives en 2003, il a continué à se livrer à cette activité.
Le 16 septembre 2010, un groupe criminel, dont l`un des membres était Arménien, a été arrêté à l`aéroport de Tbilissi. 0,0004 kg de plutonium (Pu) et 0,00008 kg d’uranium faiblement enrichi ont été trouvés et saisis des détenus. L`enquête a révélé que les criminels avaient l`intention de vendre les matières radioactives.
En août 2014, les agents des douanes géorgiennes ont arrêté à la frontière entre l`Arménie et la Géorgie (point de contrôle Sadakhli-Bagratashen), deux Arméniens tentant de faire passer des matières radioactives Césium 137 en Géorgie.
En janvier 2014, les agents des douanes géorgiennes ont arrêté à la frontière entre l`Arménie et la Géorgie (point de contrôle Sadakhli-Bagratashen), trois Arméniens tentant de faire passer des matières radioactives Césium 137 en Géorgie.
En avril 2016, le Service de sûreté de l’Etat de la Géorgie a arrêté trois citoyens arméniens et trois citoyens géorgiens tentant de vendre 200 g d’Uran-238. Il est devenu clair que les trois citoyens arméniens avaient travaillé à la centrale de Metsamor. Ce groupe avait l’intention de vendre des matières radioactives vers les pays du Moyen-Orient.
Il ne fait aucun doute que, dans le cas où ces matériaux tombent entre les mains des groupes terroristes comme Daech et Al-Qaida, plusieurs pays du monde peuvent être confrontés à des catastrophes graves.
Tags: