"Il n`y a pas d`autres options que de geler le niveau de production", a affirmé le vice-ministre cité par l`agence koweïtienne KUNA.
Concernant la position de l`Iran, selon le haut responsable, "le marché ne donne pas une chance d`augmenter la production" dans les circonstances actuelles.
Auparavant, Téhéran avait exprimé sa volonté de rétablir son niveau de production de pétrole dans les mêmes proportions qu`avant les sanctions (environ quatre millions de barils par jour) et, en conséquence, sa part dans le marché mondial.
Les représentants de plusieurs pays producteurs de pétrole se sont réunis le 17 avril à Doha. Ils auraient dû signer un accord sur un gel de la production afin d`éviter une nouvelle chute des prix des hydrocarbures. Mais cette initiative a échoué à cause de l`Arabie saoudite, qui a refusé de signer quoi que ce soit sans la participation de l`Iran, qui n`était pas représenté lors de cette réunion dans la capitale qatarie.
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