Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a dû intervenir en personne pour faire libérer les arbitres et un représentant de la fédération turque. "Ne provoquons pas un scandale devant la Turquie et le monde", aurait personnellement demandé le chef d`Etat. Le dirigeant, connu pour ses manières fortes, a alors libéré les officiels, qui ont pu quitter le stade sous escorte policière.
L`incident a suscité l`indignation générale en Turquie. Le quotidien à grand tirage Hürriyet a ainsi proclamé vendredi sur sa première page "notre football est mort". Haciosmanoglu devrait être poursuivi devant la justice après ce coup de folie.
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