Les journalistes sont soupçonnés d`avoir des liens avec Fethullah Gulen, l`ennemi juré du président turc accusé d`avoir orchestré le coup d`Etat avorté.
Parmi les personnes visées par les mandats figure le journaliste turc Nazli Ilicak qui a été limogé du quotidien pro-gouvernemental Sabah en 2013 pour avoir critiqué les ministres impliqués dans un scandale de corruption. A l`heure actuelle, les médias n`ont annoncé la détention d`aucun journaliste.
Les autorités ont suspendu, interpellé ou placé en détention plus de 60.000 militaires, policiers, magistrats, enseignants, fonctionnaires et autres personnes dans les jours qui ont suivi l`échec du coup de force.
Tags: