Elle accusait Google d`obliger les constructeurs d`appareils mobiles sous Android de faire de son moteur de recherches celui utilisé par défaut, tout en interdisant de pré-installer avant la mise en vente les services de concurrents.
Le groupe américain a cependant toujours rejeté les accusations des autorités russes, martelant que les utilisateurs étaient libres d`avoir recours à ses services ou non. Google "va analyser de près" la décision des autorités russes "avant de décider de nos prochaines actions", a réagi la société dans une déclaration transmise à l`AFP. "En attendant, nous continuons à discuter avec toutes les parties concernées pour aider les consommateurs, les fabricants et les développeurs à profiter au maximum d`Android en Russie", a-t-elle ajouté.
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