Le prêt sera utilisé pour améliorer la situation financière de l’Egypte. «Cela requiert une maîtrise de la charge salariale, une meilleure gestion de la dette publique, la création d’un bon climat des affaires et l’intégration du secteur privée dans le domaine de l’énergie», selon des données publiées, en février dernier, sur le site de la BM.
A la mi-août 2016, l’Egypte et le Fonds monétaire internationale (FMI) avaient signé un préaccord de prêt de 12 milliards de dollars, conditionné par l’obtention d’un financement 5 à 6 milliards de dollars, la première année, de la part de partenaires internationaux, mais aussi par l’application d’une politique d’austérité et la levée progressive de la compensation pour certains produits.
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