Les forces irakiennes et les milices chiites soutenues par l`Iran, sous le couvert de l`appui aérien des États-Unis, rincés le groupe terroriste aussi connu comme l`Etat islamique et Daech sur Fallujah en Juin dans une offensive largement salué par les commandants militaires au Pentagone et à l`intérieur "Zone verte de Bagdad. "
Puis les cadavres ont commencé à apparaître.
Les rapports ont émergé que près de 300 civils musulmans sunnites avaient survécu cauchemardesque emprise de deux ans de l`État islamique sur leur ville seulement pour être sommairement exécutés et jetés dans des fosses peu profondes par des miliciens chiites qui avaient pris dans le sillage du groupe terroriste.
De telles atrocités commises par les milices - officiellement connu sous le nom Unités mobilisation populaire - soulignent une crise au sein de la lutte plus large contre l`Etat islamique en Irak, qui a grandement compliqué la tentative de l`administration Obama à travailler avec les dirigeants politiques chiites de Bagdad vers la destruction du groupe terroriste sans afflux massif de troupes américaines. Même dans la «victoire» ici à Fallujah, les divisions sectaires et ethniques de l`Irak sont en plein écran.
Les agendas contradictoires, alliés affrontent, des buts incertains dans une finale désordre - ce sont les problèmes qui vont bientôt affronter celui qui hérite de l`effort militaire américain du président Obama dans les prochains mois, en plus d`un gâchis qui a vu jusqu`à présent les responsables américains prennent tranquillement le côté des parts mobilisation populaire, tout en dirigeants politiques sunnites irakiens battues crient au scandale sur les horreurs infligées à leurs compatriotes.
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