Robbie Williams ne dit pas non aux drogues

  08 Octobre 2016    Lu: 1107
Robbie Williams ne dit pas non aux drogues
Son passé le titille encore
Robbie Williams a arrêté de prendre de la drogue au début des années 2000 après un long sevrage. Il était tombé dans l’addiction après son départ du boys band Take That et avait alors frayé d’un peu trop près avec les frères Gallagher à la fin des années 90. C’est Elton John qui l’a aidé sur le chemin de la sobriété.

Depuis, l’interprète d’Angel assure ne plus toucher ni à la cocaïne ni à l’alcool. « Je ne prends plus d’alcool ni de cocaïne, et j’en suis vraiment heureux », a-t-il déclaré au Sun. Oui mais : « J’aimerais bien me remettre à l’ecstasy », a-t-il ajouté.

Une lutte continue contre la dépression

Sa tentation pour l’ecstasy est en rapport avec la dépression qui le frappe depuis de nombreuses années. « Je souffre toujours d’anxiété et de dépression, mais je pense que tout le monde ressent plus ou moins la même chose partout dans le monde », a-t-il expliqué. Il pense que la drogue pourrait éventuellement l’aider à faire diminuer la pression.

Cependant, il n’a pas cédé à l’appel de ses vieux démons. A la place, il a préféré parler avec un professionnel. « Je suis retourné voir un psy cette année, a-t-il expliqué. C’est compliqué de sortir un album, de parler à des gens comme moi et de passer à la télévision, puis de refaire la même chose pays après pays. Même si j’étais plus relax, ça resterait extrêmement stressant. Mais il s’avère que je ne suis pas une personne très relax, je suis même l’opposé de cet état. »

Robbie Williams sort en effet un nouvel album, Heavy Entertainment Show, le 4 novembre prochain. Il a trouvé une alternative aux drogues pour l’instant : la sieste. « J’ai toujours oscillé entre un bas niveau ou un haut niveau de dépression, explique-t-il. Donc j’essaye de prendre soin de moi du mieux que je peux. Si ça implique de me reposer un moment tout seul dans mon coin, je le fais. La dépression est une maladie que l’on traîne toute sa vie mais je sais que je pourrais toujours travailler, même si je me sens mal. »

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