La résolution condamne la délégitimation d’Israël par des associations LGBT par l’accusation de « pinkwashing », l’argument selon lequel Israël est un pays agréable pour les homosexuels pour masquer son traitement des Palestiniens.
La campagne est une distraction des efforts pour faire avancer la lutte pour protéger les personnes de toutes orientations sexuelles et de tous genres, affirme la résolution.
« La hausse alarmante des appels politiques d’associations LGBTI à boycotter Israël détourne l’attention de la vraie bataille que ces groupes devraient mener, c’est-à-dire défendre la promotion des droits LGBTI au sein du peuple palestinien. »
L’organisation a rendu hommage à Israël, seul état du Moyen Orient qui protège les droits LGBTI, et a condamné l’Autorité palestinienne et le Hamas, qui ne reconnaissent pas les droits de cette communauté.
« La bataille pour la reconnaissance des droits LGBTI dans les pays où cette communauté est persécutée, notamment dans l’Autorité palestinienne et la bande de Gaza dirigée par le Hamas, devrait être un engagement de toutes les associations de défense des droits de l’Homme », est-il écrit dans la résolution.
« Ces organisations doivent rejeter toutes les idéologies opposées à l’existence d’Israël en tant qu’Etat juif et démocratique, le seul pays du Moyen Orient qui protège l’orientation sexuelle et l’identité de genre. »
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