Harcèlement sexuel: démission d'un dirigeant d'Uber, ex de chez Google
Engagé en janvier par Uber en tant que vice-président chargé du secteur technique, M. Singhal avait quitté Google début 2016.
Travis Kalanick, le patron de Uber, lui a demandé de démissionner lundi, pour ne pas avoir précisé les circonstances de son départ de chez le géant des moteurs de recherche sur internet où il est resté 15 ans.
Dans une déclaration publiée lundi par Recode et USA Today, M. Singhal a fermement condamné le harcèlement sexuel, affirmant "ne pas excuser ce type de comportement et n'avoir jamais commis de tels actes".
Cette démission intervient alors que Uber, le N.1 américain du secteur de réservation de voiture avec chauffeur peine à contrôler les dégâts après des révélations sur la culture sexiste, violente et débauchée qui régnerait au sein de l'entreprise.