Leurs avoirs en Europe sont gelés et ces personnes sont interdites d'entrée sur le territoire de l'UE.
Après la répression sanglante de la révolte dite du Maïdan, fin 2013 et début 2014, le Conseil de l'UE avait décidé ce gel, reprochant à M. Ianoukovitch, à son fils Alexandre et à d'anciens collaborateurs de s'être rendus coupables de détournements de fonds publics en fuyant l'Ukraine.
M. Ianoukovitch, qui vit toujours en Russie où il s'était réfugié, son fils Alexandre et l'ancien chef de son administration Andriy Klyuyev avaient contesté ces sanctions devant la justice européenne, mais la Cour de Luxembourg les a déboutés en septembre 2016.
C'est la troisième fois que l'UE renouvelle ces sanctions, reconduites jusqu'au 6 mars 2018. Une personne a toutefois été retirée vendredi de la liste, selon le Conseil de l'UE.
AFP
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