Les scientifiques ont dressé l'encéphalogramme et le cardiogramme de bénévoles qui visionnaient des vidéos sur Internet. Ils ont démontré que lorsqu'une vidéo se mettait à ralentir, le rythme cardiaque chez 38 % des participants de l'expérience augmentait.
Dans le cas d'un deuxième ralentissement, le taux de stress chez les bénévoles augmentait de deux fois. Les scientifiques comparent le stress provoqué par la lenteur des connexions Internet à la tension nerveuse éprouvée après une longue course ou lors du visionnement d'un film d'horreur.
D'après les experts, pareilles situations ont un impact négatif sur le cœur et le système nerveux. En même temps, les scientifiques ont constaté une réduction de l'intérêt des sujets pour une vidéo qui mettait plus de six secondes à télécharger.
Il est également précisé que les auteurs de la recherche étaient également intéressés à évaluer les changements de comportement des clients potentiels.
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