«Nous avons discuté la réalisation du contrat pour la livraison des S-400. Et nous avons pris la décision d'accélérer la livraison de ces systèmes de défense», a déclaré le chef de l'État russe lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan.
M. Erdogan a défendu la décision de son pays d'acquérir ces missiles, une décision qui a suscité réserves et critiques parmi les alliés de la Turquie au sein de l'OTAN en raison de son incompatibilité avec les systèmes de défense de l'Alliance.
«À propos des S-400, c'est une décision qui appartient à la Turquie (...) Nous avons conclu un accord au sujet des S-400, nous avons fermé ce dossier, c'est une affaire terminée», a-t-il dit.