Le texte précise que la décision a été prise par le comité gouvernemental chargé de la lutte contre le blanchiment fin décembre et qu'elle entre à présent en vigueur. "Toutes les cryptomonnaies ont le potentiel d'être détournées à des fins de blanchiment et de financement du terrorisme et, de façon générale, peuvent être utilisées par des criminels pour leurs transferts de fonds", fait valoir la banque centrale.
Les cryptodevises sont apparues depuis peu comme un moyen pour l'Iran de remédier à certains maux économiques du pays en contournant les sanctions économiques américaines encore en vigueur contre la République islamique.
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