« La priorité actuellement est à la coopération sécuritaire et militaire, et il faudrait donc activer et accélérer les réformes » a-t-il affirmé, soulignant que « le moyen le plus efficace de lutter contre le terrorisme et de s’y préparer, et l`Europe doit soutenir la Tunisie dans ce domaine ».
La Tunisie fait face, depuis mai 2011, à une vague de violence terroriste visant les forces de sécurité, les touristes étrangers et les civils, dont le dernier acte a été enregistré le 24 novembre dernier. Un kamikaze s’était alors fait exploser dans un bus de la garde présidentielle faisant 12 morts. L’opération avait été revendiquée par Daech.
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