En prônant la confiscation des avoirs des migrants, l’Immigration suisse a prétendu que la loi demande, aussi, aux réfugiés de participer, si possible, au financement de leur séjour.
Selon ce rapport, ceux, dont la demande d’asile est admise, et qui sont autorisés à travailler, en Suisse, doivent donner 10% de leur salaire au gouvernement.
Auparavant, le plan du gouvernement danois avait suscité les critiques des groupes de défense des droits de l’Homme et des Nations Unies.
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