C'est ce qu'a déclaré Leyla Abdullayeva, porte-parole du ministère des Affaires étrangères de l'Azerbaïdjan, à propos de la déclaration du ministère arménien des Affaires étrangères sur l'escalade de la tension sur la ligne de front.
Selon elle, rechercher d'autres auteurs de ce crime ne signifie rien d'autre que de l'auto-illusion: «Après tout, les résolutions et décisions de la communauté internationale, y compris les trois coprésidents du Groupe de Minsk de l'OSCE, membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies et d'autres organisations internationales, sont bien connues. Tant que les forces armées de la République d'Arménie sont présentes sur les territoires internationalement reconnus de la République d'Azerbaïdjan, la probabilité de tels incidents est malheureusement très grande. Le seul moyen de prévenir de tels cas est de garantir le retrait des forces armées arméniennes des territoires de l'Azerbaïdjan. Il y a quelque temps, le ministère arménien des Affaires étrangères a insisté sur l'inacceptabilité de « mener des négociations avec une main et d'ouvrir le feu avec l'autre main ». Toutefois, après cette déclaration, les positions du poste de contrôle frontalier dans la région de Gazakh, en Azerbaïdjan, ont été attaquées et un soldat du Service national des frontières de l’Azerbaïdjan a été blessé ».
La représentante du ministère des Affaires étrangères a noté que la partie azerbaïdjanaise ne se réconcilierait jamais avec le fait de l'occupation des territoires et que la partie arménienne aurait dû le comprendre depuis longtemps: « Seul le retrait des forces armées arméniennes des territoires de l'Azerbaïdjan et le retour des Azerbaïdjanais déplacés de ces territoires dans leurs foyers entraîneront une diminution des tensions dans la région, le rétablissement d'une paix durable, de la prospérité et du bien-être ».
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