Boris Johnson lui a écrit lundi pour lui proposer une alternative à la clause dite du «backstop», qui doit permettre d'éviter le rétablissement d'une frontière physique entre la République d'Irlande et la province britannique d'Irlande du Nord après le Brexit, mais Donald Tusk a jugé mardi qu'elle n'était pas «crédible». Le chef du gouvernement britannique estime que cette clause, qui cristallise l'opposition des «brexiters» à l'accord négocié par Theresa May, porte atteinte à la souveraineté du Royaume-Uni.
Reuters
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