L’Arabie saoudite prétend, par contre, qu’étant donné que ces deux mouvements ont accepté la solution politique, ils doivent alors participer aux négociations. Sur la même longueur d’ondes, le chef du service de renseignements turc, également l’observateur du dossier syrien, assistait, ces deux derniers jours, aux réunions de Riyad, dans le but d’empêcher toute concession faite au parti du Parti de l`union démocratique kurde aux négociations de Genève et inciter Moscou à accepter la présence des indivis armés ainsi qu’un représentant du mouvement Jaïsh al-Eslam à Genève III.
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