Sur les 110 militaires qui souffrent de «commotion cérébrale légère» dues notamment au souffle des explosions, 77, soit 70% d'entre eux, ont réintégré leurs unités, a précisé le ministère américain de la Défense dans un communiqué publié vendredi.
Au total, 35 militaires ont été évacués vers un hôpital militaire américain en Allemagne pour des examens plus approfondis, soit 8 de plus qu'il y a deux semaines. Vingt-cinq d'entre eux ont été rapatriés aux Etats-Unis, 7 sont encore examinés, deux ont repris du service en Irak et un est en partance pour l'Irak.
Téhéran avait lancé dans la nuit du 7 au 8 janvier des missiles contre deux bases abritant certains des 5.200 soldats américains stationnés en Irak, en représailles à la mort du général iranien Qassem Soleimani dans une opération américaine. Après l'attaque, Donald Trump avait affirmé qu'aucun Américain n'avait été blessé. (AFP)