Dernièrement par Israël, mais aussi l’Arménie.
Soulignant que la Turquie est « l’ami des mauvais jours » Ibrahim Kalın a poursuivi : « Notre priorité à ce sujet est de définir notre propre capacité nationale. Nous avons envoyé de l’aide dans 10 à 12 pays, peut-être plus. Nous continuerons à apporter notre aide aux pays qui nous sollicitent, dans la limite de nos moyens. »
« Nous avons pu observer l’impuissance des grandes économies. Et la réalité n’a confirmé aucune sombre prédiction relative à la Turquie. Mais d’être confronté à une telle crise ne revient pas non plus à négliger les autres sujets. » a-t-il ajouté.
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