«Cependant, les conflits non résolus dans l'espace de la CEI, en particulier le conflit arméno-azerbaïdjanais du Haut-Karabakh, ne permettent pas la réalisation pleine et effective du potentiel d'intégration au sein de la CEI et constituent un obstacle majeur à une interaction plus étroite entre les États membres de la CEI contre de nouveaux défis et menaces», a affirmé le MAE azerbaïdjanais.
Selon le ministre, les dernières déclarations des dirigeants arméniens montrent que la partie arménienne fait tout son possible pour empêcher l'activation du processus de règlement pacifique du conflit, ce qui pose de nouvelles menaces pour la stabilité et la sécurité régionales: «L'Azerbaïdjan est fidèle à la résolution politique du conflit dans les plus brefs délais. En outre, les négociations ne peuvent pas durer éternellement et les négociations ne doivent pas servir à la poursuite et au maintien de la situation, qui est apparue à la suite de l’application de la force et de l’invasion et du nettoyage ethnique.
Je voudrais rappeler à nouveau que, comme cela a été noté dans la Charte des Nations Unies, l'Acte final d'Helsinki, la Charte de Paris et les résolutions connues du Conseil de sécurité des Nations Unies, l'Azerbaïdjan a le droit de restaurer son intégrité territoriale par tous les moyens dans le cadre de ses frontières internationalement reconnues. La résolution immédiate des conflits fondés sur la souveraineté, l'intégrité territoriale et l'inviolabilité des frontières des États contribuera sans aucun doute à renforcer la sécurité régionale et internationale, le progrès social et la coopération économique dans la région».
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