Un mini-sommet prévu sur la situation des réfugiés en Europe a été annulée à la suite d`un attentat à la bombe en Turquie.

Autriche devait accueillir la réunion de jeudi 18 Février à Bruxelles, où environ 10 dirigeants de l`UE allaient tenter de convaincre la Turquie d`accepter un migrant accord d`échange par lequel les Etats de l`UE acceptent un nombre limité de réfugiés si Ankara reprendrait ceux rejetés par l`Europe.

président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker et le président du Parlement européen, Martin Schulz, ont également été mis à assister à la mini-sommet.
Mais le Premier ministre turc, Ahmet Davutoglu, a sorti des pourparlers après l`explosion Ankara mercredi, qui ont fait au moins 28 morts et 61 blessés.

L`Autriche a annulé depuis le mini-sommet, qui devait être en présence des dirigeants de Belgique, France, Finlande, Grèce, Allemagne, Luxembourg, Pays-Bas, la Slovénie et la Suède.

Pas de `capitulation`

L`annulation est de nature à compliquer les efforts déployés par l`Allemagne la chancelière Angela Merkel à conclure un accord avec la Turquie avant un sommet des dirigeants de l`UE qui commence jeudi.

Le chancelier de plus en plus isolé est de trouver moins d`alliés à la fois à la maison et à l`étranger. Sa politique d`ouverture l`année dernière pour permettre à des réfugiés syriens a provoqué réaction politique à la maison et parmi les autres pays de l`UE que des bas de serrage de la frontière dans la zone Schengen sans passeport devenue plus courante.

Avant que le mini-sommet a été annulé, Jan Techau, directeur du Carnegie Europe, un groupe de réflexion européen à Bruxelles, a déclaré Mme Merkel aurait besoin d`un accord pour sortir.

"Si elle sort de cette complètement les mains vides, je pense qu`elle a beaucoup plus d`un problème intérieur. Au sommet de l`UE elle-même, il est clair qu`elle ne sera pas obtenir une solution pan-européenne", at-il dit.

Juncker a parlé dans la défense de Merkel dans une interview avec l`Allemagne Bild jour avant l`attaque Ankara. "Les politiques migratoires européennes, elle et moi poursuivent prévaudra. Il est la force politique de dire que nous pouvons le faire. Tout le reste est capitulation aux populistes," at-il dit.

Coalition de la «réticents»

Il aurait été la troisième réunion du groupe de dirigeants, qui a été surnommé coalition de volontaires, depuis Novembre dernier.Mais l`étiquette dément divisions au sein du groupe qui avait initialement espéré aller de l`avant avec des politiques au niveau de l`UE au point mort pour gérer la crise.

La France, qui avait déjà offert un large soutien, est maintenant en contradiction avec la migration de la position de Merkel pour accueillir les personnes ayant besoin de protection internationale.

La semaine dernière, français Valls Manuel Premier ministre a appelé à un arrêt de l`afflux. "Nous ne pouvons plus prendre de plus de réfugiés," at-il déclaré lors d`une conférence sur la sécurité à Munich.

Une scission a également vu le jour entre l`Allemagne et l`Autriche comme chaque poursuivent divergent politiques nationales. Autriche a annoncé mercredi qu`il imposerait une limite quotidienne sur le nombre de réfugiés admis à l`entrée dans le pays.

Vienne permettra maintenant 80 demandes d`asile par jour et permettra également à seulement 3.200 demandeurs d`asile à travers rendre dans d`autres pays.

Le bouchon autrichienne est susceptible de provoquer des goulets d`étranglement ailleurs le long de la route des Balkans de l`Ouest avec la Grèce au risque de devenir cantonnés par des bas de serrage à la frontière.

Croatie renvoyé quelque 200 migrants, y compris les femmes et les enfants à la Serbie mercredi. Aleksandar Vulin, un ministre du gouvernement de Belgrade, a déclaré la Serbie ne serait plus accepter les gens se détournèrent de pays de l`UE sur son territoire, rapporte l`AP.

Frontières des Balkans

Merkel a opposé des bas de serrage des frontières dans les Balkans occidentaux et a été misant sur un accord rapide de l`UE avec la Turquie pour endiguer le flot.

Pendant ce temps Juncker ainsi que président du Conseil européen, Donald Tusk, a organisé un dîner mercredi avec les présidents de Macédoine et la Serbie. Les premiers ministres de Slovénie et la Croatie ont également assisté.

Plus tôt cette semaine, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et la République tchèque ont annoncé qu`ils sont prêts à aider la Bulgarie et la Macédoine pour renforcer leurs frontières si d`autres mesures ont échoué.

Les dirigeants présents au sommet de l`UE sont susceptibles d`être préoccupé par le Royaume-Uni et son éventuelle sortie de l`UE.

Aucune nouvelle décision sur la migration doivent être prises. Au lieu de cela, les dirigeants du sommet porteront sur l`obtention d`accords passés et en cours d`exécution, un thème récurrent qui a jusqu`ici échoué à livrer.

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