"Il est facile d'être patriotique dans les pays étrangers, de parler d'«agression musulmane» et d'exiger l'activisme de l'Occident sans prendre aucun risque. Par conséquent, une attention particulière ne doit pas être accordée à la diaspora arménienne dans certains pays du monde en tant que force motrice dans la promotion du thème anti-azerbaïdjanais.
Habituellement, les parties intéressées à maintenir l'instabilité dans la région utilisent la diaspora arménienne comme haut-parleur pour dissimuler leurs véritables objectifs et aggraver la situation autour du Haut-Karabakh", a-t-il dit.
Selon l'expert, la victoire de l'Azerbaïdjan sur le champ de bataille et le fait que Pashinian a quitté la Russie pour ne pas l'avoir défendu, seront une excuse pour qu'il se tourne vers l'Occident, y compris le bloc de l'OTAN. Enfin, il pourra répondre aux demandes de ceux qui l'ont porté au pouvoir.
"La question est donc différente aujourd'hui. La Russie permettra-t-elle à Pashinian de le "quitter" et quelles mesures prendra-t-il pour protéger ses intérêts dans la région et comment répondra-t-il à la libération complète des terres azerbaïdjanaises des occupants arméniens? Ce sont des questions importantes", a mentionné l'expert russe.
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